Frigo connecté en entreprise : l’avenir de la restauration collective

Cantine digitale d’entreprise, frigo connecté, frigo intelligent, réfrigérateur connecté, restaurant connecté… on entend de plus en plus parler de cet espace de vie flexible et modulaire, idéal pour bien manger au bureau. En effet, de nombreux acteurs se sont positionnés sur ce créneau porteur depuis le confinement et proposent cette solution de restauration qui a dorénavant le vent en poupe. Finie la queue à la cantine ou à la boulangerie du coin, on dirait bien que la cantine de demain sera connectée !

Le frigo connecté, c’est quoi ?

Le frigo connecté réinvente la pause-déjeuner. En effet, la cantine digitale est le nouvel allié des collaborateurs pour bien manger en entreprise en toute simplicité. Le concept du réfrigérateur connecté est simple et ingénieux : plats cuisinés individuels, sandwiches, boissons, desserts sont entreposés dans un frigo doté d’une porte vitrée. Chaque collaborateur peut y accéder librement à tout moment de la journée, quand un petit creux ou une faim de loup se fait sentir.

Comment fonctionne un frigo connecté ?

Faire fonctionner un frigo connecté, c’est un jeu d’enfant. Pour ouvrir le réfrigérateur connecté, il suffit généralement d’utiliser l’application dédiée, d’y entrer son mode de paiement et d’y associer son badge d’entreprise par exemple. C’est lui qui va permettre l’ouverture de la porte du frigo connecté et la facturation, déclenchée après la récupération du plat et la fermeture de la porte du frigo. Chaque matin, le frigo est réapprovisionné, pour proposer des plats toujours frais aux collaborateurs. Avec la cantine digitale au bureau, tout est plus facile !

frigo connecte NU

 Pourquoi acheter un frigo connecté ?

  • Une offre culinaire de qualité et plus économique en entreprise
  • Une expérience ludique pour attirer les collaborateurs qui ne vont pas à la cantine traditionnelle
  • Une solution de restauration pour prendre en compte le besoin de flexibilité des consommateurs (horaires, recettes, rapidité)
  • Un système écologique pour limiter le gaspillage alimentaire
  • Une astuce pour réduire les flux aux heures de pointe, dans les restaurants d’entreprise classiques

Les différentes technologies de Frigos connectés

La technologie RFID

Le système d’identification des produits par la technologie RFID permet de capter tous les produits en temps réel, grâce à une étiquette unique et propre à chacun.

La technologie verte

Découvrez Nu! Le frigo intelligent, alimenté par des traiteurs partenaires. Nu! est une start-up qui a développé une technologie verte pour offrir une expérience de restauration responsable, en faisant la connexion entre une alimentation saine et locale en entreprise et une solution zéro déchet grâce à la consigne. Fabrication française et technologie brevetée, Nu! a déjà conquis bon nombre de grandes entreprises et ne va pas s’arrêter en si bon chemin. La particularité de l’offre Nu! est qu’il s’agit d’un frigo connecté capable de s’adapter à tous les traiteurs. Autre avantage de taille : Nu! est compatible avec un large panel de moyens de paiement, qui vont de la carte bancaire au titre-restaurant en passant par la subvention de l’entreprise.

Voilà, vous en savez plus sur la cantine connectée et sur l’innovation majeure que cela représente pour la restauration collective. Pour conclure, Brâam envisage de se lancer sur ce marché, mais rien de concret pour le moment… Alors, Stay Tuned !

Fontaine à eau entreprise, obligatoire ?

LOI AGEC : Quelles sont les principales mesures prévues pour lutter contre le gaspillage alimentaire ?

Limiter les déchets afin de préserver les ressources naturelles, la biodiversité et le climat est devenue une véritable priorité. La preuve avec la mise en place de la loi AGEC qui à travers ses 130 articles promeut la lutte contre toutes les formes de gaspillage et l’économie circulaire. Découvrez plus en détail les objectifs de ce dispositif et la stratégie mise en œuvre pour les atteindre.

La loi AGEC, c’est quoi ?

Pour commencer, la loi AGEC est la loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire. Elle a été adoptée en février 2020 afin de réduire les déchets. Ainsi, elle vise à diminuer les emballages plastiques, lutter contre le gaspillage et l’obsolescence programmée et favoriser le réemploi. Elle garantit également plus de transparence pour les consommateurs. À terme, son objectif est de mettre fin au plastique à usage unique d’ici 2040. Dans cette perspective, des objectifs de réduction, réemploi et recyclage des plastiques à usage unique dits « 3R », sont définis tous les 5 ans par décret.

Les nouvelles interdictions et obligations de la loi AGEC

Concrètement, la loi AGEC se décline en 5 grands axes : sortir du plastique jetable, lutter contre le gaspillage et favoriser le réemploi, mieux informer les consommateurs, agir contre l’obsolescence programmée et mieux produire.

À ce titre, l’année 2021 a donné le LA avec une mesure forte : l’interdiction des pailles en plastique, couverts jetables et distribution gratuite de bouteilles en plastique dans les entreprises.

Puis l’année 2022 a marqué un nouveau tournant pour la loi AGEC, avec l’entrée en vigueur de nouvelles mesures :

Réduction du plastique

  • Interdiction de sur-emballer les fruits et légumes frais (de moins d’un kilo et demi).
  • Obligation d’installer des fontaines à eau dans les établissements accueillant du public.
  • Obligation pour les bars de fournir de l’eau potable gratuitement.
  • Interdiction de distribuer des publicités et journaux dotés d’un emballage plastique.
  • Obligation de vendre des sachets de thé ou tisane en plastique biodégradable.

fontaine à eau

 

Lutte contre le gaspillage alimentaire

  • Interdiction de destruction des invendus non-alimentaires.
  • Obligation de réduire de moitié le gaspillage alimentaire d’ici 2025 pour les entreprises de restauration collective et de distribution alimentaire et d’ici 2030 pour les restaurants.
  • Obligation pour les grossistes de donner leurs invendus alimentaires à des associations.

invendus associations

Actions pour favoriser le réemploi

  • Obligation pour les entreprises des secteurs du jouet, du sport et du bricolage de proposer un service de réparation et de collecte des produits usagés.
  • Mise en place de fonds réparation pour réduire le coût de la réparation des équipements électriques et électroniques pour le consommateur.
  • Obligation pour les fabricants de permettre l’impression de pièces en 3D si celles-ci ne sont plus disponibles.

Meilleure information des consommateurs

  • Plus de transparence sur la traçabilité des produits.
  • Plus de transparence sur la composition des produits comme ceux contenant des perturbateurs endocriniens par exemple.
  • Plus de transparence sur l’impact carbone des consommations téléphoniques.
  • Plus de transparence sur la réparabilité, la compostabilité ou la recyclabilité des produits.

zero dechet recyclage 

Pourquoi réduire le gaspillage ?

Comme le précise le gouvernement et en particulier le Ministère de la Transition Écologique, « le gaspillage représente un prélèvement inutile de ressources naturelles, telles que les terres cultivables et l’eau, et des émissions de gaz à effet de serre qui pourraient être évitées. Ce sont également des déchets qui pourraient être évités qui n’auraient donc pas à être traités et n’engendreraient pas les coûts de gestion afférents ».

lanscape green

À ce titre, la loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire prévoit de renforcer les sanctions à l’égard des acteurs qui ne respecteraient pas les nouvelles directives fixées. Bref, les contrevenants s’exposent à une lourde amende.

Vous l’aurez donc compris, la loi AGEC met tout en œuvre pour favoriser la lutte contre le gaspillage alimentaire et non alimentaire, ainsi que la réduction du plastique et la sensibilisation des consommateurs à ces enjeux écologiques de taille. Nous, entreprises, avons notre rôle à jouer et notre part à prendre dans cette lutte capitale pour l’avenir des Hommes et de la planète. C’est pourquoi chez Brâam, nous agissons au quotidien dans ce sens, car le respect de l’environnement fait partie de notre ADN. Ainsi, nous essayons chaque jour de nous améliorer. Solution durable, emballage éco-conçu, tri de nos déchets, stratégie RSE mise en place sont autant d’exemples qui montrent notre implication. En résumé, nous faisons de notre mieux et nous comptons bien aller plus loin.

Top 5 des tendances zéro déchet de l’été !

« Sur la plage abandonnée, coquillage et crustacés »… ça fait rêver hein ? Oui, mais ça c’était avant. Depuis, la plage est bondée et on y trouve plein de mégots et détritus plastiques. Alors, cet été on change la donne ! Il n’y a pas qu’au bureau qu’on peut être écolo.

Objectifs zéro déchet en vacances : pourquoi ?

Le plastique jetable est partout. De votre bouteille d’eau rafraichissante, en passant par les couverts de votre pique-nique, votre tube de crème solaire et le sachet qui emballe votre parasol, tout est en plastique jetable. Le problème ? C’est prouvé, les microparticules toxiques qu’il laisse sur son passage sont mauvaises pour la santé et la planète. Alors cette année, on le bannit de nos valises !

1) Dans ma valise, je mets du solide

Le zéro déchet dans la trousse de toilette, ce n’est pas sorcier. Pas la peine d’emporter avec vous 1Kg de savon de Marseille. L’attitude zéro déchet en vacances, ça ne pèse pas plus lourd. Shampoing, dentifrice, savon, brosse à dent… rien ne se jette et c’est bien plus chouette. La base de l’hygiène, c’est le savon. De Marseille ou d’Alep, vous pouvez le trouver dans un magasin bio et le glisser dans une jolie boite à savon. Facile à transporter, il durera bien plus longtemps qu’un gel douche. Et contre toute attente, le shampoing aussi peut être solide. Simple à utiliser pour les cheveux longs ou courts, il est aussi petit et léger. Avec la gamme trendy de la marque Lush ou l’innovation de la marque Umaï vous serez forcément séduits ! Pour le déodorant, on ne vous présente plus la pierre d’Alun, un classique qui a déjà fait ses preuves. Reste les dents… Comme un esquimau sur son bâtonnet de bois, le dentifrice solide a les mêmes vertus que son cousin en tube. Avec votre brosse à dent biodégradable, il ne laissera aucune tache et aucune trace.

Savon et produits de beauté solide zéro déchet

2) Dans mon sac de plage, je mets une crème solaire écolo

Selon une enquête du magazine 60 millions de consommateurs, de nombreuses crèmes solaires comportent des perturbateurs endocriniens. Dans la plupart des 10 crèmes pour adultes testées, l’étude révèle la présence d’ethylhexyl methoxycinnamate, un filtre UV qui serait un « perturbateur endocrinien potentiel ». Conclusion ? La marque Avène (Eau thermale) est la crème testée recommandée avec une note de 18/20. Mais qu’en est-il de la planète ? Oui, on a tendance à l’ignorer, mais une fois notre body sculpté plongé dans l’océan, water proof ou non, la crème se répand dans son environnement… Et là, gare aux coraux ! Au moins quatre ingrédients qui la composent menacent le corail, les phytoplanctons et autres espèces marines. Alors réfléchissez bien au moment d’acheter votre écran total, optez pour une formule à base de filtres minéraux.

3) Dans mon sac de course, je mets du local

C’est les vacances. Une fois la maison ouverte et les valises déposées, vous voilà au volant de votre voiture de location direction le super-marché d’à côté… Erreur ! Ce n’est pas là que vous trouverez les richesses culinaires de la région que vous visitez. Ici, pas de poignée de mains et sourires chaleureux, au mieux vous aurez la fraicheur de la clim’. Non, si vous voulez déguster des bons plats locaux, des produits du terroir et des fruits goûtus, c’est au marché du village qu’il faut aller. D’abord parce qu’il vous fera voyager. Accents chantants et dégustation de fromages typiques, c’est là-bas que vous serez dépaysés. C’est aussi le lieu pour découvrir les saveurs locales sans vous ruiner. Pour connaître le marché qui se trouve à proximité ? Rien de plus simple, rendez-vous sur le site jour de marché. Et vive le local !

Produits local en vacances

4) Dans mon téléphone, je stock mes papiers

Ticket de bus, billet d’avion, carte d’embarquement, réservation de mon Airbnb, guide touristique, carte postale… et les arbres, vous y avez pensé ? Le papier c’est de l’Arbre. Le saviez-vous ? Il faut en moyenne un arbre pour produire près de 8500 feuilles de papier. Mais toutes ces feuilles de papier sont-elles si nécessaires ? Aujourd’hui il existe un moyen écolo de voyager, c’est le E-billet. De train ou d’avion, il s’adapte à toutes les destinations. Il ne pèse rien et son impact environnemental est minime. Pensez-y !

5) Dans mon sac de sport, je ramasse les déchets

La nouvelle tendance de l’été c’est le plogging ! Ce nom ne vous dit rien ? Contraction du terme suédois « ploka upp », qui signifie ramasser, et du mot « jogging », le plogging consiste à courir en ramassant les déchets. On vous dit « courir », mais les déchets sont partout et les terrains jeux innombrables. Notez que cette activité est valable pour tous les sportifs ! Nageurs, marcheurs, joggeurs, rameurs, navigateurs, surfeurs… Rien de plus simple. Il vous faudra seulement un vieux sac à dos, un peu de courage et un bon coup de main. Dame Nature vous le rendra si bien !

Plogging en vacances

Les 5 vertus méconnues de nos plantes d’intérieur

Pourquoi accueillons-nous des plantes à l’intérieur de nos maisons, de nos lieux de travail, ou de nos espaces publics ?
Depuis cinq mille ans, les plantes sont présentes dans nos intérieurs. Les sumériens seraient les premiers à avoir eu cette drôle d’idée que de soustraire à la terre des végétaux pour les cultiver dans leurs habitats. Véritables objets de curiosité, notamment au XIXe siècle lorsque des botanistes ramenèrent des espèces exotiques en Europe, les plantes sont pourtant bien plus que des éléments de décoration.

Les plantes d’intérieur ont des vertus pour notre environnement, notre santé et notre mental :

1. Elles humidifient l’air

Grâce à un processus de transpiration, les plantes vertes émettent de la vapeur d’eau. Pour notre santé, il est nécessaire de respirer un air suffisamment humide. En hiver, le froid extérieur et le chauffage assèchent l’air ambiant. Conséquences : des inconforts respiratoires, peau sèche, maux de têtes, infections, etc. Les plantes ont la propriété de restituer jusqu’à 97% de l’eau utilisée pour leur arrosage et peuvent ainsi augmenter de 5% l’humidité de l’air. Premier point fort pour nos végétaux domestiques !

2. Elles purifient l’air

Nos plantes peuvent filtrer une partie des substances chimiques en suspension dans l’air comme le formaldéhyde et le benzène (substances cancérigènes présentes dans les produits de construction, certains meubles et dans la fumée).
Les plantes absorbent ces molécules toxiques contenues dans l’air et les transforment en nutriments ou les stockent dans leurs tissus.
Des plantes saines et bien soignées peuvent purifier l’air jusqu’à 20%.

3. Elles réduisent les nuisances sonores

Depuis longtemps, les plantes sont utilisées pour réduire le bruit aux abords des routes fréquentées.

Ronronnement des imprimantes, sonneries de téléphone, bavardages des collègues… les espaces de travail sont rarement silencieux. Placées au bon endroit (en îlot de verdures dans les coins de pièces par exemple), les plantes d’intérieur permettent de mieux se concentrer au travail. Comment ? Elles captent les ondes sonores avec leurs feuilles, les renvoient ou les dispersent.

4. Elles diminuent le stress

De nombreuses expériences, comme celle d’Helen Russel menée sur des étudiants de l’Université du Surrey en Angleterre, démontrent que la présence de végétaux dans une pièce diminue notre taux de stress.

Ainsi, dans cette expérience, les étudiants qui planchaient sur un travail difficile avaient tendance à fournir de meilleurs résultats lorsqu’ils étaient placés dans une pièce végétalisée.

5. Elles réduisent les ondes électromagnétiques

Téléphones, ordinateurs, antennes relais, ampoules… au bureau, beaucoup d’appareils émettent des ondes dont les effets peuvent être nocifs. Selon certaines études, les plantes grasses, et notamment le cactus, pourraient absorber une partie de ces ondes et donc en diminuer les effets négatifs sur notre santé.

Les 5 réflexes d’une bonne hygiène au bureau

L’hygiène au bureau c’est du sérieux ! Plus que jamais en cette période de crise sanitaire, la question de l’hygiène au travail n’est pas prise à la légère. Et la saleté n’est pas forcément là où on la croit. Une souris d’ordinateur abriterait trois fois plus de germes que la poignée de la porte des toilettes ! Et votre table de bureau hébergerait en moyenne 10 millions de bactéries. Des chiffres qui donnent le tournis. Se laver les mains régulièrement est devenu primordiale pour garder une bonne hygiène au bureau. Et pour cause, près de 80 % des infections courantes sont transmises par le toucher. Alors haut les mains ! Mais il ne faut pas seulement se laver les mains, il existe 5 réflexes à avoir pour une bonne hygiène au bureau… C’est parti !

1. Hygiène des mains : les laver régulièrement

« Se laver les mains à l’eau et au savon pendant 30 secondes est la mesure d’hygiène la plus efficace pour prévenir la transmission de tous les virus », nous avertit Santé publique France. Se frotter les mains, laver le dos des mains, entre les doigts, le bout des ongles, le pouce… Tout cela est plus complexe que ça n’en a l’air ! « Si vous n’avez pas d’eau et de savon, faites la même chose avec du gel hydro alcoolique », précise cette autorité de santé publique. Le professeur Peter Openshaw, de l’Imperial Collège de Londres, a précisé à la presse qu’il : « faut se les laver souvent (environ 5 fois par jour), avec du savon et de l’eau pendant au moins 20 secondes, ou avec du gel hydroalcoolique. Lavez-vous les mains avant de manger, de toucher de la nourriture et après avoir pris les transports en commun ». Le message est clair ? Il va être difficile de passer à côté de ce réflexe phare. Chez BRÂAM, nous avons installé nos distributeurs de gel hydroalcoolique sans contact Umano à l’entrée, dans la cafétéria, près des toilettes et dans les bureaux. Avec ça, impossible d’oublier, on a tous adopté ce geste sanitaire !

2. Hygiène collective : ménage et rangement

Au bureau, l’hygiène passe aussi par le rangement et l’entretien des locaux. Si vous avez la chance de bénéficier d’un service de ménage quotidien, vous n’aurez qu’à maintenir la propreté des lieux d’un jour à l’autre. Ce n’est pas si compliqué ! Un repas renversé à la cafétéria, hop un coup d’éponge. Une tasse vidée de son café, tac à la machine à laver. Le marc de café à jeter, toc dans le compost. Toutes ces actions quotidiennes sont de petits riens qui font beaucoup. Et en plus, Brâam vous file un coup de pouce. Nous proposons aux entreprises des laveuses expresses ! Pschitt, tout brille en deux temps trois mouvements. Et pour que règne le calme et la propreté, faites comme nous : désignez une équipe par semaine qui doit y veiller.

3. Hygiène personnelle : prendre soin de soi (et des autres)

Mais qu’est-ce que l’hygiène au bureau, si ce n’est le cumul de l’hygiène personnelle de tous les collaborateurs qui occupent le bureau ? Dans cette période de crise sanitaire, c’est précisément à l’hygiène et à la responsabilité de chacun que la société fait appel. Nous sommes invités à prendre soin de nous en portant un masque au bureau et en nous lavant les mains régulièrement. Mais aussi à prendre soin des autres en veillant à accomplir ces gestes sanitaires nécessaires. Chaque fois que vous vous lavez les mains, vous prenez soin de vous-même et des collaborateurs qui partagent le bureau avec vous. L’hygiène personnelle, ce n’est pas seulement se laver les mains (et en période de pandémie, porter un masque), . Mais là, c’est une autre affaire, qui ne nous regarde pas…

4. Hygiène environnementale : une planète propre

Ne pas jeter ses déchets dans la bonne poubelle, ou pire, ne pas laisser trainer ses déchets sur son bureau ou sur la table de la cafétéria… Tout ceci aussi relève de l’hygiène au bureau et du respect des autres. L’hygiène, c’est selon le dictionnaire « l’ensemble des principes et des pratiques tendant à préserver et à améliorer la santé ». De évidence, prendre soin de l’environnement et éviter les déchets qu’on déverse sur la planète ou l’usage de produits toxiques sur notre peau, a des conséquences sur notre santé. Le bon réflexe donc, c’est de trier ses déchets et même de les limiter. Au bureau, vous pouvez installer un système de tri des déchets : plastique, papier, déchets alimentaires ou compost pour le marc de café… Vous pouvez aussi faire le choix du Zéro Déchet : avec une cafétéria 100% zéro déchet : café en grain, fontaine 0 plastique, snacks en vrac, il n’y a plus à se préoccuper du tri des déchets, il n’y en a pas !

5. Hygiène de vie : manger sain et naturel

En fait, l’hygiène de vie concerne essentiellement les choix de style de vie qui ont un impact positif sur la santé et sur son propre bien-être physique ou moral. Les comportements de la vie quotidienne sont fortement influencés par la perception que l’on a de son état de santé. Manger sainement, faire du sport, utiliser des produits cosmétiques sains et naturels, privilégier la consommation Zéro Déchet, ne prendre que des transports verts… Tout cela est une hygiène de vie positive et saine. Au bureau, il existe plein d’astuces à mettre en place pour adopter ce mode de vie sain. Comme par exemple instaurer une cafétéria Zéro Déchet !

Alors, convaincu que l’hygiène au bureau est primordiale ? Reste maintenant à veiller au respect de ces réflexes positifs. Pour cela, Brâam vous file un coup de pouce. Nous avons étudié des solutions 100% saines et 100% naturelles pour les bureaux. Faites-nous signe !