La rentrée débarque avec son lot de bonnes résolutions. Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné l’an dernier ? Qu’est-ce que je peux changer pour me sentir mieux, vivre mieux au bureau et travailler mieux ? Nous sommes prêts à parier que vous avez bien quelques idées. C’est au commencement que l’on est animé des meilleures intentions. Et si on profitait de ce commencement qu’est la rentrée pour nous renouveler, nous améliorer et partir du bon pied ? Voici le top 10 des bonnes résolutions à adopter au bureau sans tarder…

1. Devenir lunch box addict

1, 2, 3, 4, 5… c’est le nombre de boite repas, de couverts, de serviettes et de bouteilles jetables que vous gaspillez chaque semaine. Ne pensez-vous pas qu’il y a là une piste de progression ? Justement, il existe une alternative imparable aux emballages jetables de vos repas : la lunch box. Associez à celle-ci un jeu de couverts réutilisables, une serviette en tissu, une gourde et TADÂAM… vous voilà équipé pour un repas Zéro Déchet. Ce n’était pas si sorcier ! Concrètement, il vous suffit de prévoir une portion en plus de votre dîner de la veille et la glisser le soir dans votre lunch box. Régalade assurée dès le lendemain ! Pour les plus pressés, demandez à votre « Take Away » préféré de vous servir votre plat directement dans la lunch-box… Facile !

2. Passer en mode #ZéroDéchet

À la cafétéria du bureau aussi c’est facile de passer en mode Zéro Déchet ! Chez Brâam tout est étudié pour limiter les emballages (0 capsule, 0 plastique, 0 déchet). Pour compléter, vous pouvez vous équiper d’un tote-bag, un mug lavable et une gourde réutilisable. Voilà le combo idéal pour vous convertir ! Et hop une bonne résolution ultra simple à adopter.

3. Manger 5 fruits et légumes par jour

« Il faut manger 5 fruits et légumes par jour », nous recommande le programme national nutrition santé « Manger Bouger ». Là encore rien de très compliqué. Croquer une pomme dans la matinée, manger une banane au goûter et le reste au repas d’équipe… Mais au fait, pourquoi faut-il en manger ? Parce qu’ils sont riches en vitamines, en minéraux et en fibres. Leur impact positif sur la santé a d’ailleurs été démontré ! Il est également recommandé de consommer une petite poignée de fruits à coque (noix, noisettes, amandes…) chaque jour. Eux aussi sont riches, notamment en acides gras et en particulier en Oméga 3 ! Au fond, tout ce qu’il faut pour rester en bonne santé se trouve dans notre cafétéria ! Avouez que pour cette résolution, on vous a bien mâché le travail…

4. Adopter la méthode de travail Pomodoro

Non cette fois, on ne parle pas de fruits et légumes. Mais plutôt de minuteur. Cela vous évoque peut-être un objet en forme d’œuf ? Sachez que le plus célèbre minuteur était en forme de tomate, « pomodoro » en italien. La méthode Pomodoro est donc très logiquement une technique de gestion du temps. Développée par Francesco Cirillo à la fin des années 1980, elle montre qu’il faut faire des pauses de 5 minutes toutes les 25 minutes de travail pour être plus productif. Et, pour vous faciliter la tâche sachez qu’il existe une application (disponible sur iOS et Android) conçue pour la pratiquer : Pomodoneapp ! Cette bonne résolution est définitivement la plus simple…

5. Instaurer une routine matinale

Vous avez très certainement entendu parler de la « morning routine », ou routine matinale. Cela évoque souvent l’idée de se lever plus tôt pour s’accorder un moment à impact positif sur sa journée : sport, méditation, petit-déjeuner élaboré…C’est un rituel qui s’installe dans votre quotidien et vous procure entière satisfaction. Cette notion est véritablement née avec la sortie du livre Miracle Morning de Had Elrod. Cette routine procurerait de nombreux bénéfices, parmi lesquels trouver du temps pour soi, donner de l’élan pour sa journée…etc. Alors comment on fait pour intégrer cette bonne résolution ? Commencez par définir votre matinée idéale (ex : manger un miam aux fruits, méditer 10 minutes, faire 5 salutations au soleil…). Définissez précisément ces étapes et cadrez-les dans un emploi du temps réaliste. Décidez ensuite ce que vous ne voulez pas faire (regarder vos emails, sortir la poubelle…). Enfin réglez votre réveil sur l’heure du lever adapté à votre routine. Il ne reste plus qu’à la tenir 21 jours de suite… Top chrono !

6. Lire dans les transports

Vous avez remarqué ? Tout le monde a le visage scotché sur son écran de smartphone dans les transports… Informations dramatiques sur le monde en péril, emails du boulot stressants, vidéos violentes sur les réseaux, tout cela n’est pas très positif pour débuter la journée ! Et si vous troquiez votre écran contre un bon bouquin ? Voilà la bonne résolution ! Glissez dans votre sac le dernier livre de votre écrivain favori. Et, sur le pas de la porte, lancez-vous un défi : « je ne sors mon smartphone qu’en cas d’appel important ». Vous verrez, votre journée sera transformée.

7. M’inscrire au sport (et m’y tenir)

Chaque fois c’est la même rengaine : « cette année je fais du sport ! ». Il suffit de quelques semaines et ce vœu devient lettre morte. Pourtant, vous le sentez, vous en avez besoin. Votre corps est comme rouillé et le stress vous impose de vous dépenser. Alors que faire pour tenir ce pari ? Peut-être avez-vous simplement besoin d’un engagement, comme l’inscription dans un cours de sport ? Ou bien vous faut-il un binôme sportif qui saura vous motiver ? Ou même un coach ? Ne lésinez pas sur les moyens, l’activité sportive est nécessaire pour rester en bonne santé. Allez courage, cette résolution, cette année vous la tenez !

8. Bannir une mauvaise habitude

Grignoter, procrastiner, fumer, manger trop salé, trop sucré… Si vous cherchez bien, on a tous une mauvaise habitude dont on aimerait se débarrasser. Le tout c’est de l’identifier. Une fois cernée, fixez à votre bureau sa représentation symbolique : une image de cigarette, de sel, d’alcool etc. Et barrez l’image au gros feutre rouge. Vous ne passerez plus à côté. Pour vous aider à tenir cette bonne résolution, regardez s’il n’existe pas une application coach. Pour la cigarette notamment, elles sont très réputées…

9. Boire 2 litres d’eau par jour

Le saviez-vous ? Il faut boire au minimum 1,5 litres d’eau par jour pour être en bonne santé. Pourquoi ? C’est très simple, nos organes sont très largement composés d’eau (cerveau 76%, poumons 78%, sang 79%). Ne venez donc pas à manquer d’eau, c’est vital ! Au travail, on a tendance à ne pas y penser. Du café, oui, on en boit. Mais de l’eau ? Grâce aux fontaines à eau sur réseau Brâam, impossible de se déshydrater. L’eau fraîche et pétillante saura vous happer. Adoptez une gourde réutilisable et remplissez-la près de trois fois dans la journée… Si vous la videz à chaque fois, c’est que la résolution a marché

10. Prendre les escaliers

Pour compléter la résolution n°7 (faire du sport), vous pouvez vous lancer le défi de ne plus prendre l’ascenseur. Évidemment, si vous travaillez au 50ème étage d’une tour à la défense, il va falloir l’adapter. Fixez-vous dans ce cas un minimum d’étages à monter : 5, par exemple. Il est important de marcher et de faire de l’exercice chaque jour. Il est d’ailleurs recommandé de marcher au minimum 30 minutes par jour pour rester en bonne santé, soit environ 10 000 pas. Et vous, vous en faites combien ? Pour être bien sûr de tenir cette résolution, achetez un podomètre et lancez-vous ce défi : 10 000 pas minimum. À vos marques, prêt ? Partez…

Ça y est, vous êtes équipé pour la rentrée ! Si aucune de ces résolutions ne compte parmi vos habitudes, n’essayez pas de les intégrer toutes en même temps. C’est le meilleur moyen de les abandonner rapidement. Choisissez plutôt 3 résolutions parmi ce top 10 et adoptez-les pour de vrai, dans la durée. Courage, vous pouvez y arriver !

 

En tant qu’employeur, pas toujours facile d’être au fait des dernières normes et réglementations en vigueur. C’est pourquoi nous vous donnons ici quelques tips pour en savoir plus sur la législation française autour de la bouteille d’eau au travail. La législation française impose à l’employeur l’obligation de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé de ses salariés, conformément à la loi sur la sécurité et la santé au travail. En vertu de cette loi, l’entreprise a l’obligation légale de veiller à ce que les collaborateurs disposent d’un accès à l’eau potable et à des installations sanitaires adéquates. En effet, si les travailleurs ont soif sur leur lieu de travail, ils doivent pouvoir accéder facilement à de l’eau potable pour se désaltérer.

Vous l’aurez compris, au-delà d’une attention, d’un geste bienveillant de l’employeur, il s’agit d’une obligation légale. Bien comprendre la nuance est important. Il est donc obligatoire de mettre à disposition des travailleurs une source d’eau potable. Différentes options sont possibles : un simple robinet offrant de l’eau potable, une fontaine à eau ou encore de bouteilles d’eau en verre… à vous de choisir ! Cela peut contribuer à améliorer le confort, le bien-être et la santé du personnel. Il est aussi question de réduire le risque de déshydratation sur le lieu de travail, notamment en cas de fortes chaleurs.

Loi bouteille d’eau au travail

• Depuis 2015, le législateur est intervenu pour réduire l’utilisation des produits plastiques à usage unique. Ces règlementations ont directement impacté les employeurs. En effet, cela implique donc une interdiction progressive de mettre à disposition des salariés des produits en plastique à usage unique, comme les bouteilles en plastique par exemple.
• Depuis le 1er janvier 2020, l’entreprise ne peut plus mettre à disposition de ses collaborateurs des gobelets ou verres en plastique à usage unique.
• Depuis le 1er janvier 2021, l’interdiction s’est étendue aux bâtonnets mélangeurs pour boissons (« touillettes »), couverts, assiettes, couvercles pour gobelets à emporter et pailles en plastique à usage unique. C’est également à cette date que la distribution gratuite de bouteilles en plastique contenant des boissons est devenue interdite dans les entreprises et établissements recevant du public (sauf cas exceptionnels, comme une température extérieure exceptionnellement élevée et pas d’option alternative, dans un Ehpad, sur des chantiers etc).

Solutions alternatives pour fournir de l’eau potable

Depuis 2022, toujours dans l’objectif de protéger la planète en adoptant des gestes plus écologiques, un nouveau décret issu de la loi AGEC a donc été mis en place. Il stipule que tous les établissements recevant du public (ERP) sont dorénavant tenus d’être équipés d’au moins une fontaine à eau accessible à l’ensemble du public. Fontaine à eau filtrante sur réseau, fontaine bonbonne… à vous de choisir quelle option vous convient le mieux pour offrir de l’eau fraîche aux individus.

Voilà, vous en savez plus sur la loi bouteille d’eau au travail. Vous l’aurez compris, la bouteille d’eau en plastique n’a plus le vent en poupe en entreprise. Aujourd’hui, l’heure est à la fontaine à eau et à tous ses avantages. Pratique, ludique, conviviale, écologique… le distributeur d’eau est l’avenir de l’hydratation des collaborateurs au bureau ! Vous souhaitez équiper votre entreprise ? Découvrez notre gamme de fontaines à eau professionnelles, disponibles à la location ou à l’achat.

La mutation des concepts autour du bureau est en marche. La tendance est aux environnements de travail flexibles et à l’agilité des salariés dans l’entreprise. La numérisation a d’ailleurs favorisé la transition numérique des espaces de travail. En 2024, le bureau devient un espace collaboratif tourné vers la communication et le bien-être des employés afin d’améliorer leur productivité. L’environnement de travail est en constante évolution et il est capital pour les entreprises de comprendre les nouvelles tendances qui émergent dans le monde des bureaux. Zoom sur les nouvelles tendances de bureaux en 2024.

L’avènement du flex-office pour l’organisation de vos bureaux

Optimiser les coûts d’immobilier de bureaux

En quelques années, le taux d’occupation des bureaux en entreprise a largement chuté. Un salarié aurait aujourd’hui besoin de seulement 2/3 d’un poste. Un chiffre qu’on explique en grande partie par la démocratisation du télétravail et la numérisation du poste de travail. Le flex-office permet à l’entreprise de répondre à cette nouvelle tendance en adaptant le nombre de postes effectifs. Une organisation qui tend à générer des économies de gestion, mais aussi à dégager de la trésorerie pour investir dans le recrutement ou la R&D. En réduisant la problématique de la sous-occupation des locaux, le flex-office devient en effet un outil d’optimisation du coût de l’immobilier pour l’entreprise.

Adapter l’espace de bureaux par rapport aux besoins réels de l’entreprise

Inspiré du coworking, le flex-office propose diverses ambiances de travail dans un même espace. Loin du bureau traditionnel, ce mode d’organisation au travail donne de l’agilité à l’entreprise pour adapter sa surface de bureaux à ses besoins réels et permettre aux salariés de s’installer au poste qui convient en fonction de la nature des tâches à accomplir : poste privatif, salon informel d’échange ou salle de réunion équipée. Avec ses espaces à la carte, l’entreprise flex-office cultive la modularité dans ses murs. Une organisation qui stimule la créativité des employés.

Casser les routines et créer des échanges

Le flex-office bouleverse les rapports hiérarchiques dans l’entreprise, amenant les managers à repenser leur organisation de façon horizontale. Ce nouveau rapport au travail facilite les échanges entre les employés. Les espaces communs favorisent la collaboration des équipes. Le flex-office crée une émulation nouvelle et un brassage entre les salariés qui permet de développer une forte culture d’entreprise. Libéré de la routine d’un poste de travail attitré, chacun découvre de nouvelles façons de collaborer dans l’espace de travail. Mais le succès du travail nomade repose sur une organisation en amont afin que chacun puisse trouver sa place correctement : proposition de services pour améliorer le confort des salariés, outil de réservation des espaces de travail…

L’émergence de nouvelles solutions flexibles adaptées aux PME en croissance

Les contraintes du bail classique professionnel ou commercial

Le contrat de bail commercial et le contrat de bail professionnel engagent les parties sur la durée avec des conditions de résiliation assez strictes. Le bail commercial offre un statut spécifique et engage le bailleur et le locataire pour une durée minimale de 9 ans, avec un droit au renouvellement. Coté locataire, le bail commercial contraint la résiliation aux seules échéances de périodes triennales. Plus souple, le bail professionnel engage tout de même les parties pour une durée minimale est de 6 ans. Il peut être interrompu par le preneur à tout moment en respectant un préavis de 6 mois.

S’ils sont protecteurs, ces baux offrent peu de marges de manœuvre aux entreprises. Les PME en croissance ont besoin de plus d’agilité ! Elles préfèrent souvent la souplesse d’une location en coworking. Ces contrats de courte durée et sans engagement offrent en effet une flexibilité appréciable pour les entreprises montantes qui peuvent ainsi adapter la taille des bureaux au fur et à mesure de leur évolution.

Le bureau opéré, solution alternative entre coworking et bail classique

Nouveau concept hybride sur le marché de l’immobilier d’entreprise, le bureau o

péré offre un contrat personnalisé particulièrement adapté aux scale-ups. Il combine la location d’un espace dédié à l’entreprise et la prestation de services caractéristique du coworking. Une solution qui permet d’allier la simplicité administrative du coworking et la confidentialité de bureaux privatifs. Mais pour choisir la formule appropriée à vos besoins réels, rien de tel que l’avis d’un expert de l’immobilier de bureaux !

Les bureaux opérés offrent une formule idéale pour les entreprises en phase de croissance. Elles peuvent ainsi infuser leur ADN dans des locaux privatifs tout en bénéficiant de la flexibilité nécessaire pour adapter leur immobilier de bureaux à leur évolution. La facture englobe le loyer mensuel et les services associés comme l’entretien, le contrat d’assurance, la connectivité (téléphonie, internet), l’équipement informatique et multimédia.

On peut aussi y ajouter des services fondés sur le bien-vivre en entreprise : conciergerie, machine à café en grains ou salle de sport. Mais certains vont plus loin ! Brâam permet ainsi d’allier le bien-être des salariés à une culture d’entreprise engagée. La cafétéria d’entreprise devient un lieu de protection de l’environnement avec des produits qui limitent les déchets des salariés : café écologique en grains, snacks sains, fontaines à eau professionnelles, emballages recyclables même la location de plantes en entreprise pour une touche verte au quotidien.

La digitalisation de la recherche de bureaux

La simplification du marché de l’immobilier de bureaux

En quelques années, la digitalisation a transformé le secteur de la recherche immobilière. L’immobilier de bureaux n’échappe pas à la règle en simplifiant l’accès à une information précise. Les utilisateurs accèdent ainsi à des listes de biens immobiliers via des sites web ou des applications mobiles spécifiques.

De plus en plus sophistiquées, ces plateformes permettent de consulter les annonces, en choisissant des critères de recherche avancée (quartier, prix, surface…). Certains offrent même des visites virtuelles, permettant aux acheteurs et aux locataires de gagner du temps en réduisant le nombre de leurs visites physiques. En outre, les outils d’analyse de données et les algorithmes de recherche permettent aux utilisateurs de mener une analyse comparative des produits et d’avoir une prise de décision plus éclairée.

Des acteurs qui réinventent l’expérience de recherche de bureaux

Cette mutation de la recherche immobilière n’a pas échappé aux acteurs du secteur. Certains vont même jusqu’à réinventer l’expérience de recherche de bureaux pour aider leurs clients à prendre la meilleure décision parmi la variété des offres disponibles sur le marché.

Spécialisé dans le marché des PME et des startups, Spliit propose ainsi une prestation originale, tout en divisant les honoraires par deux. Son service digitalisé permet d’accéder à 100 % des offres du marché, du bail classique au contrat de bureau opéré en passant par la sous-location et le coworking. Son outil de recherche unique permet en outre de gérer son planning de visite et son budget. Ses experts reconnus assurent enfin un accompagnement personnalisé et adaptable au fur et à mesure de l’évolution de vos besoins.

 

« Pourquoi Eloïse de la com’ est-elle si sensible à son environnement de travail ? Et François de la compta, qu’a-t-il à être si discret ? Il y a aussi Vanessa qui se marre à longueur de journée, et Sophie qui a toujours besoin de tout contrôler… derrière ces traits de caractères se cachent neufs types de personnalités. Sauriez-vous reconnaître le vôtre et identifier celui de vos collègues ?

Ennéagramme : kesako ?

L’Ennéagramme est une méthode de développement personnel qui remonterait au IVème siècle av. JC. Son invention pourrait être attribuée à Pythagore. Diffusé à partir des années 70 aux États-Unis par le courant de la psychologie humaine, il est aujourd’hui très utilisé dans le domaine du management. Et ce n’est pas un hasard ! Cette méthode qui exploite la capacité de chacun à observer ses propres traits de caractère et habitudes, permet d’accroître les relations que nous entretenons avec les autres et de mieux nous comprendre. Construit à partir des racines grecques ennea (neuf) et gramma (figure), l’ennéagramme dresse un portrait des neufs personnalités présentes dans le monde.

Neuf forces et compulsions

Selon René de Lassus, auteur d’un livre sur l’Ennéagramme, « chacun façonne sa personnalité en réaction à partir de sa compulsion, c’est à dire à partir de ce que chacun cherche à éviter à tout prix ». Les neuf personnalités de l’Ennéagramme sont donc constituées chacune de deux éléments :
– une compulsion principale ;
– une force développée en réaction.
La méthode n’a pas vocation à décrire des comportements, mais des « motivations » qui vont provoquer des comportements chez les individus.

Ennéagramme, portrait de neuf personnalités

Chaque être humain appartient à un type de personnalité. Mais, attention, il ne s’agit pas d’enfermer les gens dans des cases et de les réduire à cela. Les portraits qui vont suivre devraient simplement vous donner les clés de ces neuf types de personnalités pour mieux interagir avec elle et nous comprendre. Toute ressemblance avec des personnes de votre entourage serait purement fortuite…

1. Le perfectionniste

Xavier est comptable, son patron sait qu’il peut compter sur lui. Son travail est méticuleux et rigoureux. Mais avec ses collègues et ses amis il éprouve parfois des difficultés. Il n’aime pas les bruyants éclats de rire. Cela peut le mettre dans une froide colère qu’il dissimule bien volontiers.
La personnalité de type 1 est animée par un haut degré d’exigence – notamment morale – et un fort désir de perfection dans tout ce qu’elle réalise. Elle est soigneuse, ordonnée et méticuleuse. Elle est capable de patience et de défendre ses idéaux.
Sa compulsion : la peur de mal faire et la peur de se mettre en colère.
Ce qui compte pour le 1 : être reconnu pour la qualité de ce qu’il fait, ne pas être pris en défaut et avoir raison.

2. L’altruiste

Julie est très appréciée de ses collègues parce qu’elle se dépense pour eux sans compter. Toujours présente à leurs côtés, elle anticipe leurs souhaits et leurs peines. On dit d’elle qu’elle est très généreuse et attentive aux autres. Elle en est fière. Très disponible pour les autres, elle peut aussi se montrer jalouse et possessive.
La personnalité de type 2 aime être disponible et aider ses semblables. Elle a une grande capacité à réconforter les autres. En retour, elle aime qu’on lui exprime de la reconnaissance. Elle est capable d’humilité et de répandre un amour de qualité.
Sa compulsion : éviter le rejet et éviter de reconnaître ses propres besoins.
Ce qui compte pour le 2 : être reconnu pour les qualités d’attention et de dévouement qu’il offre. Être aimé.

3. Le battant

Matthieu est un cadre dynamique. On sait que les affaires qu’il mène seront bien menées et qu’il obtiendra du résultat. Il a une capacité à entrainer les autres, mais gare à ceux qui ne le suivent pas ! Pour arriver à ses fins, il peut être capable de forcer la réalité. Mais il est aussi capable d’authenticité et d’une grande sincérité.
La personnalité de type 3 agit avec efficacité. Il est très important pour elle de réussir ce qu’elle entreprend. Elle redoute l’échec, mais elle aime les challenges. On dit d’elle qu’elle est courageuse, énergique, exigeante pour elle-même et pour les autres. Elle peut parfois jouer des rôles et séduire pour le prestige. Mais ce qu’elle aime surtout, c’est avancer, progresser.
Sa compulsion : éviter l’échec.
Ce qui compte pour le 3 : être reconnu pour ce qu’il fait, ce qu’il réussit. Être apprécié.

4. Le créatif (ou tragico-romantique)

Eloïse de la com’ aime la créativité et exprimer son sens artistique. Elle s’arrange pour être bien avec beaucoup de gens. On la trouve parfois trop solitaire. En fait, elle est dans son univers. Attentive au regard des autres, elle consacre beaucoup de temps à personnifier son image, ses vêtements et arranger son appartement.
La personnalité de type 4 fait preuve d’une grande sensibilité et d’originalité. Elle vit les émotions avec intensité. Mélancolique et solitaire, elle craint beaucoup les critiques. Son subterfuge ? Elle se réfugie dans son imaginaire. C’est aussi une personne envieuse.
Sa compulsion : elle a horreur de paraître conforme, banal.
Ce qui compte pour le 4 : être reconnu pour son identité, être différent.

5. L’observateur

François est un intellectuel. Il s’oblige chaque jour à se tenir au courant des choses. En société il peut se montrer distant. Parfois, il va jusqu’à refuser une invitation ou un déjeuner d’équipe s’il pense que « ces gens ne sont pas très intéressants ».
La personnalité de type 5 aime assimiler des connaissances. Elle privilégie la logique sur l’émotion. Elle a d’ailleurs beaucoup de mal à les exprimer, ses émotions. Elle redoute l’intrusion de l’autre dans sa « sphère personnelle ». Elle n’aime pas tellement les rencontres et éprouve souvent le besoin de se retrouver seule avec elle-même (et un livre). Son mental est toujours actif, elle observe ce qui se passe plutôt que de participer.
Sa compulsion : éviter l’intrusion des autres et le vide intérieur.
Ce qui compte pour le 5 : être reconnu pour ce qu’il sait, ce qu’il connaît et être « au courant ».

6. Le loyaliste

Charlotte est une femme ponctuelle. Elle est très prudente dans tout ce qu’elle entreprend. Mais on peut compter sur elle. D’ailleurs c’est une excellente exécutante car, souvent, elle admire ses chefs et aime leur autorité. La vie sociale n’est pas son fort et certains la trouvent craintive.
La personnalité de type 6 est sympathique et développe des liens forts avec les siens, « ceux de son clan ». Elle a un bon sens de l’humour. Mais elle peut être plus méfiante à l’égard des autres et de la vie en général. Elle se montrera donc très loyale vis à vis de ceux qui la rassurent.
Sa compulsion : éviter la déviance et la trahison.
Ce qui compte pour le 6 : être reconnu pour sa droiture.

7. L’épicurien

Vanessa est pleine d’entrain et souvent souriante. Elle aime s’occuper de choses très variées. C’est une bonne animatrice. Elle s’amuse souvent d’un rien. Au regard des autres elle peut paraître superficielle.
La personnalité de type 7 a des intérêts très variés. Elle cherche à tout prix à éviter la souffrance et l’enfermement. Elle a tendance à entreprendre plusieurs choses à la fois, souvent avec excès, sans achever ce qu’elle a commencé. Elle peut paraitre superficielle, mais on apprécie sa gaieté. Elle peut déployer beaucoup d’énergie pour des tâches qu’elle aime.
Sa compulsion : éviter la souffrance et la routine.
Ce qui compte pour le 7 : être reconnu pour son plaisir de vivre, sa gaieté.

8. Le meneur

Sophie en colo, c’était la mono. Dans la vie professionnelle, elle aime avoir un poste à responsabilité et diriger une équipe. L’image de chef lui plait. Et, « à force de persévérance », comme elle aime le rappeler, elle va y arriver. Sa vie affective peut osciller entre vents et marée. Il lui arrive aussi d’être simple, entrainante.
La personnalité de type 8 est une travailleuse, un chef-né. Elle cherche, en toute situation, à garder le contrôle et à imposer son propre point de vue. Elle considère la vie comme un combat, contre elle-même (ses émotions) et contre les autres. Avec le 8, c’est « tout ou rien ». Elle est souvent excessive, enthousiaste et énergique.
Sa compulsion : éviter la faiblesse.
Ce qui compte pour le 8 : être reconnu comme fort et affirmer son autorité.

9. Le médiateur

Karine est d’humeur constante. Elle est appréciée, parce que dans tout ce qu’elle fait, il règne un climat doux et heureux. C’est pour cela qu’elle a horreur du conflit. Quand vient la discorde, elle peut déployer une énergie folle à le régler, ou sombrer dans le laisser-aller.
La personnalité de type 9 cherche à être en bonne entente avec tout le monde. Elle sait bien écouter les autres, mais elle peut avoir tendance à trop supporter et minimiser les problèmes. Elle fuit la prise de décision et rejette parfois la nouveauté. Elle aime vivre à son rythme, déteste être pressée et cultive ses habitudes.
Sa compulsion : éviter les conflits.
Ce qui compte pour le 9 : être reconnu comme facile à vivre.

Alors ça y est, vous savez qui vous êtes ? Maintenant que vous connaissez ces 9 types de personnalités, efforcez-vous de mieux comprendre le comportement des personnes qui vous entourent et non de le juger. Revêtez les lunettes de la compassion… après tout, vous aussi vous avez vos compulsions !

Comment allier croissance économique et respect de l’Homme et de l’environnement ? C’est le pari du développement durable. Il existe de nombreuses actions accessibles à l’entreprise pour prendre le chemin du développement durable. Mise en place d’un système de recyclage, réduction des déchets, choix des bons produits… Il y a plein de bonnes pratiques à adopter au bureau sans augmenter son budget ! On fait le point sur cette notion d’avenir et les moyens qui sont à portée de main…

C’est quoi le développement durable ?

Le développement durable n’est pas incompatible avec la croissance économique. Au contraire ! C’est une conception de la croissance mais qui s’inscrit dans une perspective à long terme. La vision est globale et tient compte des contraintes humaines et environnementales. Cette expression apparaît pour la première fois lors de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l’Organisation des Nations unies en 1987. Ainsi, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». La mission du développement durable est de définir des schémas viables de croissance qui concilient les trois piliers des activités humaines : écologique, social et économique. Trois piliers que les individus et les organisations humaines telles que les entreprises, sont invités à prendre en compte.

Focus sur le premier pilier écologique du développement durable en entreprise : l’écologie…

1) Recycler c’est mieux que jeter

Selon l’association Zéro Waste France, chaque salarié passe en moyenne 200 jours sur son lieu de travail par an, et y produit entre 120 et 140 kg de déchets. À la question de l’association : « Le tri des déchets est-il mis en place dans votre entreprise ?», seuls 53 % des collaborateurs interrogés répondent « Oui », tandis que 34 % répondent « En partie » et 13 % « Non ». Un premier pas pour prendre soin de la planète c’est donc d’instaurer un système de tri des déchets en entreprise ! Voilà un geste simple de développement durable qui n’affectera en rien la croissance. Pour vous faciliter la vie, Brâam a mis en place un partenariat pour accompagner vos collaborateurs dans le tri des déchets. Bac de couleur, infographie ludique, jeu, tout est permis pour y arriver.

2) Des emballages durables à la cafétéria

« Le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas », martèle l’association Zero Waste France. Et il est vrai qu’il existe de multiples déchets au bureau dont on pourrait très bien se passer. En particulier à la cafétéria… Avez-vous remarqué le nombre de gobelets en plastique, serviettes en papier, dosettes de café ou bouteilles d’eau que l’on peut jeter ? Tout cela n’est pas très développement durable… « Pour éviter la surconsommation de produits jetables (même s’ils sont compostables ou recyclables), explique l’association dans son Guide du Zéro Déchet au bureau, vous pouvez mettre à disposition de vos collègues une version réutilisable équivalente : remplacer les gobelets de la machine à café par des mugs, équiper la cuisine en couverts… ». Ainsi, faites le choix de remplacer la vaisselle jetable par une vaisselle lavable : gourdes, mugs, tote-bag… et si vous adoptiez le kit Zéro Déchet pensé par Brâam pour vous lancer ?

3) Adopter des machines zéro impact

Le saviez-vous ? Certaines machines peuvent réduire considérablement vos déchets. C’est le cas de la machine à café en grains au bureau qui ne produit pas de déchet à chaque fois que vous l’utilisez. Au contraire de sa voisine aux dosettes aluminium ou plastique, la machine à café en grains ne produit que du marc de café. Un excellent engrais naturel pour vos plantes au bureau, mais pas seulement, découvrez 8 utilisations insoupçonnées du marc de café. Alors prêt à sauter le pas en optant pour la location de machine à café professionnelle ? Pour adopter une attitude 100% développement durable au bureau, vous pouvez accompagner votre machine à café professionnelle de la fontaine à eau branchée sur réseau d’eau. Sans bombonne plastique jetable et utilisée avec une gourde réutilisable, votre entreprise ne peut pas faire plus écologique !

4) Composter ce qui peut l’être

Reste que certains déchets sont impossibles à éviter : marc de café, sachet de thé, déchet des fruits de la corbeille au bureau, reste du déjeuner… Pas de panique ! À chaque problème sa solution. Pour favoriser le développement durable de votre entreprise, vous avez tout à fait la possibilité d’installer un compost dans la cafétéria, cela évitera de mélanger les déchets biodégradables aux déchets ménagers… Ensuite, privilégiez les cafétérias qui conçoivent des éco-emballages réutilisables (bocal de snacks, corbeille de fruits) ou compostables (sachet de café en grains…etc). Ainsi, vous verrez les poubelles de l’entreprise s’alléger durablement et vos collaborateurs seront éblouis !

5) Distribuer des kits Zéro Déchet

Et si vous étiez moteur de la transition écologique ? Après tout, les collaborateurs sont de plus en plus nombreux à rechercher une entreprise qui incarne leurs valeurs… Au total, 83 % des collaborateurs interrogés par Zéro Waste France pensent que la gestion des déchets n’est pas optimale dans leur bureau, et 96 % d’entre eux se déclarent prêts à changer certaines procédures de travail pour améliorer le système de tri. Mieux que le tri, on a vu qu’il existait un bon moyen de réduire ses déchets : adopter de la vaisselle lavable. Alors pourquoi ne pas offrir à vos collaborateurs un kit Zéro Déchet au bureau pour se lancer ? Une gourde lavable, une lunch-box, un tote-bag, un mug réutilisable… Le Zéro Déchet est un jeu d’enfant !

Au-delà de la réduction des déchets, il est important d’appliquer des pratiques écoresponsables globales au bureau, pour prendre la voie du développement durable. La surconsommation et le gaspillage sont partout… Ouvrez les yeux et chassez les mauvaises pratiques. Le diable se cache dans les détails !